AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Juste un rêve... [TERMINE]

Aller en bas 
AuteurMessage
Sulpicia Vasilii
Play with me...
Sulpicia Vasilii


Messages : 952
Date d'inscription : 06/09/2011
Localisation : Mon âme est là, où mon corps n'est pas.

Juste un rêve... [TERMINE] Empty
MessageSujet: Juste un rêve... [TERMINE]   Juste un rêve... [TERMINE] EmptyDim 1 Avr - 17:25

J’ouvris doucement les yeux, ayant un affreux mal de tête. Je laissais échapper un léger gémissement lorsque je fus pleinement consciente. L’esprit à peu près dégagé, je remarquais qu’il y avait quelqu’un en face de moi. Je tentais alors de me redressé, mais on me demanda de rester allongée, mais je n’eus que faire de ces conseils et m’assis. Je me sentais légèrement serrée, étouffée, je touchais alors mon torse et compris que j’étais vêtue d’un corset. Ma main passant sur le côté de gauche de ma poitrine, je sentis mon cœur battre… Chose impossible puisque j’étais vampire. Je secouais alors la tête et remis ma main sur mon cœur, il battait belle et bien... Ma vie vampire devait être un rêve… Je regardais alors autour de moi, et me souvins de la présence de l’homme en face de moi. Il était plutôt âgé et me regarda avec un sourire bienveillant.

- Comment allez-vous mademoiselle ?
- Euh… quelque peu confuse… Mais je pense allez bien. Où suis-je ? Demandai-je d’une voix faible.
- Au château de la famille Stanford en Angleterre… Votre cortège a été attaqué par des bandits lorsque vous traversiez la forêt qui borde ma demeure en compagnie de vos parents…

Je ne comprenais guère ce qui se passait. Je regardais alors un court instant la façon dont j’étais vêtue et fus bien surprise de me voir habillée d’une robe du seizième siècle... Mais quelques instants après, cela me sembla normal. Je relevais le visage et regardais monsieur Stanford. Stanford… Ce nom me disait quelque chose… Mais je n’arrivais pas à me souvenir en quoi. J’interrogeais alors mon interlocuteur du regard, il savait que je voulais savoir où était mes parents. Il fit une légère moue et répondit qu’ils avaient été tués pendant l’attaque des malfrats. Je le regardais alors totalement surprise, et lui demandais comment j’avais fait pour survivre. Il répondit que l’un de ses fils qui était à l’extérieur avait entendu le bruit de l’attaque et était venu nous aidé. Il avait fait fuir les bandits avant qu’il ne s’en prenne à moi mais, il avait été trop tard pour mes parents. J’hochais simplement la tête l’air triste, seulement l’air. Mes parents étaient des marionnettes que je contrôlais, je ne tenais pas réellement à eux. Soudainement, la voix de monsieur Stanford me demanda s’il pouvait me poser une question. Je lui fis comprendre qu’il le pouvait.

- Si je vous dit « scrapate », seriez-vous capable de définir ce terme ?
- Vous voulez vous assurer je suis bien du monde magique n’est-ce pas ? Il hocha la tête. Un scrapate est une personne ne possédant aucun pouvoir, il ignore l’existence du monde magique. Je ne suis pas une scrapate, mais une sorcière de level A.

Il me sourit satisfait de ma réponse. Il me demanda si j’étais sûre que j’allais bien et j’hochai la tête à mon tour. Soudain, quelqu’un toqua à la porte. Le maître de la maison invita la personne à entrer. Mais il n’y avait pas une, mais deux personnes. Deux parfaits sosies… Étais-je tombée si violemment sur la tête ? Voila que je voyais double… Je portais alors ma main sur ma tempe et regardais les deux personnes qui venaient d’entrer. La voix de la personne assis en face de moi retentit de nouveau.

- Vous ne voyez pas double ma chère… Ce sont mes deux fils, deux jumeaux. A votre droite Yann et, à votre gauche Damon.
- Ravie de vous rencontrer messiers… Je suis réellement navrée, je ne me suis pas présenter… Sulpicia Katherine Vasilii…

Les jumeaux et le père me sourirent, je le leur rendis et puis soupirai. Le plus âgé des trois hommes me demanda ce qui se passait. Je lui souris et me levais avant de vaciller légèrement, l’un des frères –Damon si je ne me trompais pas- vint me porter aide pour éviter que je ne tombe au sol. Je le remerciais et il resta à mes côtés pour me soutenir. Le père me demanda une nouvelle fois ce qui m’arrivait. Je lui répondis alors que je ne pouvais rester ici et abuser de leur hospitalité, je devais regagner une ville pour trouver une auberge. L’autre frère ne laissa pas son père répondre, qu’il lui demanda si je pouvais rester ici la nuit, car il serait dangereux de me laisser sortir après cette attaque, surtout que j’étais encore sonnée. Il ne refusa pas, demandant aux deux frères de me conduire à la chambre des invités pour que je me repose. Il ajouta qu’il ferait le nécessaire pour que je trouve un logis, qu’il trouverait une solution à mes problèmes. Ce fut donc avec l’aide de Damon et Yann que je me dirigeais vers la chambre de leur invité.

La marche me sembla bien longue et épuisante, je ne traversais pourtant qu’un couloir. Lorsque je vis l’escalier se dresser devant moi, je demandais aux frères de s’arrêter deux minutes pour que reprenne quelque peu mon souffle. Celui qui m’avait empêchée de tomber regarda son frère, celui-ci hocha la tête, je sentis alors l’un de ses bras passer derrière mon dos et puis se baisser légèrement, pour passer son autre membre derrière mes jambes. Et puis il me porta pour monter les escaliers avec son frère. Je le remerciais dans un murmure et me laissais faire tranquillement. Je sentis étrangement le mécontentement de Yann… Il avait accepté le fait qu’on me porte, mais n’était pas totalement ravie. Il ouvrit tout de même la porte de la chambre et Damon me posa délicatement dans le lit avant de tousser.

- Êtes-vous malade mon cher ? L’interrogeai-je toujours faible.
- Vous êtes dans un état bien faible et, vous vos souciez de l’état de mon frère ? Vous êtes bien douce mademoiselle Vasilii. Mon frère a une santé bien fragile depuis sa naissance.
Je sentis alors Damon se raidir et Yann être quelque peu satisfait.
- Je ne vous posais point la question monsieur Stanford, mais je la posais bien à votre frère. Et vous, vous êtes malade et vous m’aidez et me portez, je vous en remercie.
- Je vous en prie mademoiselle Vasilii… Je pense que mon frère et moi devons vous laisser vous reposer.
Ils commencèrent à sortir.
- Attendez ! A qui dois-je la vie ?
Ce fut Damon qui répondit sur un ton peu joyeux.
- A mon frère…

Yann me sourit avant de quitter la chambre, il fut suivit de Damon qui éteignit la bougie. Je fermais donc les yeux, et m’endormis toute habillée. Je n’eus guère le temps de réfléchir à quoique ce soit tant j’étais fatiguée.

Au petit matin, je fus réveillée par une voix féminine. En ouvrant les yeux et en me redressant, je fus face à une femme aux cheveux de jais et aux yeux bleus azur. Elle se présenta comme la femme de monsieur Stanford et mère des jumeaux. Je fis ma présentation à mon tour. Elle m’informa qu’elle me prêtait une robe pour la journée ainsi qu’une dame de compagnie pour m’aider à me vêtir. J’hochais simplement la tête tant elle semblait froide. Je pouvais bien la rendre plus aimable, mais elle était partie bien trop rapidement. La servante entra avec la robe et je me levais pour me changer. Grace à son aide, je n’eus pas à faire mon corsage seule et je ne pris que peu de temps pour me coiffer. Elle annonça ensuite que monsieur Stanford et ses fils m’attendaient au pied du grand escalier. Je la remerciais poliment avant de descendre rejoindre la famille anglaise. Tous trois me saluèrent en souriant, le père me demanda comment j’allais depuis la veille.

- Bien mieux monsieur, je vous remercie. Y aurait-il un moyen d’aller en ville pour que je puisse me renseigner sur une auberge ou, le moyen de rentrer chez moi ?
- Yann doit s’absenter aujourd’hui… Mais Damon pourra sans doute vous accompagner. Qu’en pensez-vous mon fils ?
- Bien sûr, je me ferais un plaisir de vous accompagner mademoiselle Vasilii.
- Et sachez que si vous ne trouvez pas de solution avant ce soir, vous pourrez rester ici. Pendant que vous êtes en ville, trouvez-vous également quelques robes. Rajouta le vieil homme.
- Je vous remercie monsieur Stanford… Mais je n’ai absolument rien pour vous remercier, ni argent ou quoique ce soit… Je suis réellement désolée, mais je ne puis continuer à importuner votre famille... Je le regardais dans les yeux, avec un léger sourire. Mais auriez-vous la gentillesse de m’héberger et m’habiller gratuitement sans attendre quelque chose en retour ? Je sais… C’est beaucoup demander…

A quoi servait mon don si je ne l’utilisais pas ? Je sentis alors le regard de Damon sur moi, et puis il fit un léger sourire, alors que Yann me regarda quelque peu septique. Je n’y fis guère attention et attendais la réponse de leur père en sachant qu’elle serait en ma faveur. Il répondit comme je l’avais prédit et s’en alla dans son bureau chercher un peu d’argent avant de me le tendre. Je lui souris et le remerciais. Yann annonça alors qu’il allait être en retard à son rendez-vous et partit en se téléportant. Monsieur Stanford déclara que je devais sans doute y aller également, sinon j’allais rentrer tard. Je lui souhaitais une bonne journée et Damon me proposa son bras, que j’acceptais. Nous nous téléportâmes alors dans une ruelle sombre de la ville et en sortîmes pour nous renseigner sur le moyen que j’avais pour retrouver ma belle Italie au plus vite. Pendant que nous marchions, nous discutions.

- Quel don avez vous mademoiselle Vasilii? Me demanda-t-il.
- Appelez-moi Sulpicia, et je suis sûre que vous savez ce qui l’en est de mon don…
- Vous êtes l’une des ses femmes dont le charme est facile n’est-ce pas? Pourquoi ne pas utilisez votre don sur moi alors ?
- Comment savez-vous que je ne l’utilise pas ?
- Je le saurais si vous le faisiez, j’en suis persuadé. Je suppose également que vous vous n’êtes pas fait attaqué aussi près de ma demeure au hasard.
Je m’arrêtais brusquement et le regardais.
- Qu’insinuez-vous monsieur Stanford ?
- Appelez-moi Damon… Je pose simplement des hypothèses à votre égard.
- Quel est votre don Damon ?
- Je ne lis pas dans les esprits, je les contrôle et n’ai guère pris le contrôle du votre… Mais j’ai bien l’impression de nous connaître depuis un moment, comme si nous étions déjà rencontrés.
- Diriez-vous cela seulement pour inventer un lien entre nous pour faire jalouser votre frère ?
- Vous changer de sujet Sulpicia… Mais je me doutais que vous aviez remarqué que nous sommes tous les deux tombés sous vos charmes. Malheureusement pour moi, mon frère a plus de chance de vous séduire.
- Vous abandonnez déjà la partie Damon ? Vous laisserez votre frère me courtiser sans vous battre ?
- Je ne sais point… Il vous a tout de même sauvé la vie…
- Nous verrons bien Damon… Et vous aviez raison, ce n’est pas par hasard que je suis ici…

Il ne répondit pas à cela, et nous reprîmes notre marche. Je cherchais une solution sans réellement faire d’effort. Mon après-midi se passa sous des réflexions au sujet des deux frères Stanford. Ils m’attiraient tous les deux, mais pas pour les mêmes raisons. Je voyais en Yann la solution pour avoir une partie de la fortune de son père, quant à Damon il avait compris qui j’étais, et ce n’était pas donné à tout le monde. Réellement, je ne savais pas lequel je voulais charmer. Je n’étais pas ici pour tomber amoureuse, mais pour leur fortune or, j’étais tombé sous les charmes du plus fragile des frères…

L’après-midi passa donc paisiblement, sans effleurer la moindre fois la discussion que j’avais eue avec Damon. La soirée, nous la passion chez lui avec sa famille. Je parlais avec tous les membres qui vivaient dans la résidence, m’excusant de devoir rester une nuit supplémentaire. Même si ces excuses étaient fausses… A ces mots là, le jumeau avec qui j’avais passé la journée m’avait sourit et je lui rendis. Quant à Yann, au moindre échange entre son frère et moi il se raidissait. J’en étais presque exaspérée, mais j’en étais satisfaite également. Je n’en oubliais pas mon objectif premier.

Après cela, les deux frères s’excusèrent de devoir quitter la table, mais Yann voulait passer du temps avec Damon. Leur père leur laissa la permission de sortir et repris la conversation avec moi. Il me demanda de parler de ma vie en Italie ainsi que de ma famille. Je le fis, faisant les louanges des Vasilii que j’appréciais un minimum. Et puis, je commençais à en avoir assez de sa compagnie. Je le regardais droit dans les yeux.

- Vous allez vous levez et quitter la table pour me laisser seule. J’ai besoin de respirer un peu. Vous direz à vos servants de débarrasser la table une fois que je l’aurais quitté, personne ne rentre pendant que je suis là.

Il hocha la tête et s’exécuta. Une fois seule, je me levais et fouillais dans le petit sac que j’avais. Je sortis la clé que j’avais dérobée à monsieur Stanford durant notre discussion et parti vers le grand tableau. Je regardais autour de moi pour être sûre qu’il n’y avait personne et décalais la peinture. Derrière celui-ci, il y avait un petit coffre qui s’ouvrait avec la clé entre mes doigts. Mais j’hésitais à l’ouvrir… C’était également la fortune de Damon… Et je ne me voyais mal la lui dérober, je voulais le faire, mais avais un doute. Je soupirais et finis par ouvrir le coffre pour y voir une parure de diamant. Je la regardais et voulus la prendre… Mais refermais le tout en ne touchant à rien. Je devais parler à Damon le lendemain et me décider à partir ! Je ne pouvais pas rester ici. En sa compagnie je devenais bien trop sage… Je partis donc me coucher, décider à lui parler !

Le lendemain, je cherchais l’un des deux frères toutes la journée, mais rien. Ils avaient tous les deux disparus. J’avais questionné leurs parents, les domestiques mais aucun d’eux ne savaient où étaient les jumeaux Stanford. Je m’étais téléportée un peu partout pour le retrouver, mais ils avaient réellement disparu. Je m’étais donc ennuyée toute la journée à les chercher sans résultat. A chaque fois que je passais devant le tableau de la salle à manger, je repensais à mon hésitation de la veille et, la robe que je portais m’exaspérais tant elle était longue et, tant la dame de compagnie me l’avait serrée. Ce n’était gère une bonne journée, et pour le peu de temps que je connaissais Damon, il me manquait.

Le dîner était passé, et toujours aucune trace des jumeaux. Les parent commençaient à s’inquiété également, et déclarèrent que s’il n’y avait pas de nouvelle au matin, ils les feraient recherchés. Me voyant également inquiète, monsieur Stanford me rassura en promettant qu’il les retrouverait. Je souris, et il me conseilla d’aller me coucher pour éviter que je pense au pire. Je suivis cette fois-ci son conseil et regagnais la chambre qu’il m’avait prêtée.

Minuit sonnait et un hurlement strident me réveilla. Je sortis donc de mon lit pour aller voir de quoi il s’agissait silencieusement. Mon cœur battait très rapidement, mais je voulais savoir ce qui était arrivé. J’ouvris doucement la porte et regardais le couloir : personne. Je marchais alors le plus discrètement possible vers l’escalier et regardai au rez-de-chaussée : toujours aucune personne. Je partis alors vers l’aile sud – où était la chambre des parents Stanford –. Il n’y avait aucun bruit et puis je sentis un courant d’air. Je me téléportais donc devant la chambre que je voulais gagner et toquais à la porte.

- Monsieur Stanford ? Aucune réponse. Monsieur Stanford ?! Toujours rien.

Je mis alors ma main sur la poignée pour ouvrir et sentis de nouveau le courant d’air. Je me retournais rapidement et ne vis personne, aucune fenêtre ouverte.

- Qui est là ?! Demandai-je effrayée.

Je n’attendis pas de réponse que je me mis à courir, mais non loin de l’escalier, je glissais sur de l’eau et tombais lamentablement par terre. Je me relevais regardais mes mains… Ce n’était pas de l’eau, mais du sang. Je regardais autour de moi et vis le corps de monsieur Stanford et sa femme sans vie. Je descendis alors rapidement les escaliers et puis me souvins que je savais me téléporter. Mais lorsque je voulus disparaître, je sentis quelqu’un m’attraper et me plaquer contre le mur par la gorge.

- Yann !! Je vous en prie ! Lâchez-moi ! Laissez-moi partir ! Suppliai-je en le reconnaissant.
- Comment se fait-il que vous nous reconnaissiez si facilement ? Pourquoi lui ?! Pourquoi ?! Je suis tombée sous votre charme à la seconde où je vous ai vue, je vous ai tout de même sauvée.
- Je l’ignore, mais je vous en prie… Laissez-moi…
- Je suis désolée, ce n’est point contre vous… Je vous laisserai bien vivre avec mon frère… Cela m’importe peu… Mais votre cœur bat si rapidement, et bat pour une autre personne que moi… Votre sang m’appelle…
- Tenez-vous ! Lâchez-moi et vous ne me reverrez plus… Une seule seconde et je disparais…
- Yann! Lâche là ! Ordonna Damon qui était couvert de sang sur les marches de l’escalier.

Mais son ordre fut ignoré et son frère me mordit dans le cou. J’hurlais alors de douleur et essayais de le repousser mais il était plus fort. Je le sentis alors me lâché et je tombais au sol. Il disparut et Damon vint me voir, il me regarda désolé de ce qui c’était passé et me caressa doucement les cheveux. Je respirais avec difficulté et le nouveau vampire s’excusa… Son regard devint celui d’un meurtrier et il fit comme son jumeau. Il me mordit au même endroit que son frère. Lorsque ses canines entrèrent dans ma chair j’hurlais de douleur.


J’ouvris soudainement les yeux, me releva rapidement, avec une main sur le cou. Je regardais autour de moi et reconnus la chambre de Damon. Je me tournais alors à ma droite et il m’interrogea du regard. Je passais la main sur mon cœur et fus bien soulagé de ne pas le sentir. Le vampire de cinq siècles me demanda alors si tout allait bien et je lui fis un petit sourire avant de répondre :

- Juste un mauvais rêve… D’après toi, si on se serait rencontre en 1560… Qu’est-ce qui se serait passé ?

Il haussa les épaules et répondit qu’il ne savait pas, et que personne ne le saurait. Rajoutant ensuite qu’avec l’âge que j’avais, je ne devrais plus avoir peur des cauchemars sur un ton quelque peu moqueur. Je lui fis alors une moue et il sourit. Je le préférais presque quand je n’étais pas bien du tout… Il était plus agréable… Mais, il fallait bien que les choses reprennent leur cours, on allait recommencer à se chercher et s’embêter, ça en resterait amusant… Je me recouchais donc tout en me blottissant contre lui -comme je le faisais ces derniers temps - et réfléchis à la signification du rêve… Aimer Damon ? Nan… Pas dans la vraie vie, ce n’était qu’un rêve. Après tout, dans mon rêve j’étais humaine, je suis vampire maintenant… Sur ces pensées, je me rendormis plus paisiblement.
Revenir en haut Aller en bas
 
Juste un rêve... [TERMINE]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Juste une petite blague ... [PV : Alexiara Kean]
» Et dire que je voulais juste regarde les bécanes... [PV: Jester Remington]
» Aaaah! Un vampire! [PV: Damon][TERMINE]
» Demande de Salle [Terminé]
» Y a quelqu'un? [PV: Damon][TERMINE]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
L'école Richelieu :: Autres Lieux Magiques :: Résidences des Êtres Magiques :: Résidence Stanford-
Sauter vers: