Vendredi soir .... nuit de chasse [ PV : Jenny Olianna ]

Les cours étaient fini. Du moins pour cette semaine. On était vendredi soir, J'étais chez moi, je devais aller me nourrir mais comme chaque vendredi soir je restais dans mon entrée, une main sur la poignet.
J'allais devoir tuer pour ma survie, tuer une personne, innocente ou non. Je ne le supportais pas.
J'ouvris la porte et sorti sans prendre la peine de la refermer. Personne ne rentrerais ici.

Comme chaque vendredi soir, j'avais une boule au ventre, le coeur serrer ....
Il fallait que je trouve une personne mauvaise mais ça ne courait pas forcément les rues et certains avaient une famille ... Moi je n'avais plus rien, juste une envie de vivre.

Les mains dans les poches, je commençais à arpenter la ville, à la recherche d'une proie. Pas de chance, ce soir il n'y avait personne de dangereux. Dans une rue adjacente, un homme fouillait dans les poubelles. Il avait un air si triste. J'allais à sa rencontre. Je l'avais effrayer, me rappelant que j'étais un monstre alors que j'étais sous ma forme humaine. " Pitié ! Ne me frapper pas ! Je voulais seulement trouvé de quoi manger ! "
Face à tant de misère, je ne pus me contrôler. Je ne pouvais pas manger cet homme.
Je décidais de l'emmener avec moi. Je voulais lui offrir mon aide. Je m'éloignais de lui, il y avais un petit magasin de quartier pas loin, j'allais lui acheter de quoi manger et boire, de quoi avoir chaud aussi.
Je pensais même l'invité chez moi pour la nuit.... Je retournais le voir avec toutes mes emplettes. Il n'avait pas bouger, trop effrayer, trop faible.

Je déposais la couverture sur lui, avant de lui tendre une tasse de chocolat chaud. La peur dans ses yeux avait été remplacée par l'étonnement puis par une joie immense. une fois qu'il fut réchauffer, on partageât un repas. Puis je lui proposais de venir chez moi. IL était seul et sens famille, je ne pouvais pas le laisser comme ça. Je le ramenais chez moi où il prit une douche et où il allât se coucher.

il m'avait parler des gens qui le maltraitais, je savais ou les trouver et je savais ce que j'avais à faire. Une fois, la personne endormit, je filais à l'endroit indiquer. J'y trouvais comme prévu un homme. Il vint vers moi, l'air menaçant. Je ne posais pas de questions. Je le vidais de son sang sauvagement, jusqu'à la dernière goute. Mais je n'étais pas pour autant rassasié. Un de ses amis arrivait. J'attendis qu'il s'approche du cadavre avant de faire de même avec lui, et avec le suivant.

Quand je repris mes esprits, je me trouvais dans une ruelles sombre, là où mon ami se faisait agresser face à 4 cadavres, tous proprement allongés sur le sol, il n'y avait aucune trace de lutte, aucune trace de sang, juste des visage pétrifier par l'horreur. Qu'avais-je fait ? J'avais tuer de sang froid 4 personnes ! J'avais perdu le contrôle ! J'étais un monstre sanguinaire, incapable de se contrôler. Je ne savais pas quoi faire ... Je devais les enterrer ... Mais leurs familles ? J'emmenais les cadavres au cimetière, je les enterrais un à un, avant, de fuir. Je déambulais dans la rue, sans but, ressassant ce qui venais de se passer. J'étais un monstre...

Je ne pus m'empêcher d'hurler mon désespoir au ciel. Je tombais à genoux dans la ruelle avant de me mettre à geindre et à pleurer.

Nous étions à la fin de notre première semaine de cour, c'était vendredi soir, et j'étais pour le moment à Richelieu, ça avait été pour ma part une rentrée plutôt tranquille, un peu comme toute les autres enfaites, je commençais à en avoir l'habitude surtout... A se que j'ai entendu il y avait eu des petites complication entre les deux clans et une nouvelle parmi les notre. Pour ce soir j'allais devoir faire un petit tour à l'extérieur du côté de nos cher scrapates, car d'ailleurs notre professeur en histoires scrapates nous avait demander un cahier en plus pour ses cours. Mais bon, vu que je ne pouvais qu'y aller a la tomber de la nuit, et qu'a se moment de l'année la nuit tardait encore, j'espérais que les magasins serait encore ouvert. La nuit était tombée dans les environ de vingt heure, et avant d'y aller, j'avais penser à me boire une petite pochette de sang à la cafétéria, au cas où. On se sait jamais si un scrapates va se pointer ou non juste devant notre nez et que comme par hasard il saignerait et que comme par hasard au même moment on aurait une petite faim... Histoire de précaution quoi, pas que je sache pas me contrôler, loin de là, mais un accident est très vite arriver de nos jours. Et de plus, sa faisait assez longtemps que je n'avais pas touché à du sang bien frais, donc ce n'étais pas ce soir que j'allais flancher.

Je partis ensuite de Richelieu à la nuit tomber, pour aller dans une ville voisine, la ville qui possédait un magasin qui avait ce don j'avais besoin et qui étais la plus proche. J'avais pris le bus pour m'y rendre et éviter d'utiliser ma vitesse de vampire en publique. Une fois arriver à une grande surface, qui était heureusement encore ouverte, je me rendais donc dans le magasin que j'avais besoin pour aller chercher ce cahier. Je passais devant des choses qui autrefois m'aurait donné énormément envi tel que des bonbons, gâteau, sucrerie... mais qui maintenant ne me faisait ni chaud ni froid, et c'était bien dommage, car maintenant je prenais beaucoup moins de plaisir lorsque je mangeais de la vrai nourriture. J'étais donc ensuite allé en caisse, et alors que je faisait la queue pour payer, une femme juste devant moi avait réussi a s'entailler la main avec un des objets sur le tapis. Et en plus elle c'était même retourner juste devant moi pour me demander un mouchoir... Je m'aimais lorsque j'avais de bonne initiative comme tout à l'heure ! J'avais donc fixée sa main un cour instant, c'était vrai que sa me donnait beaucoup envi, mais j'étais bien assez forte pour résister. Je lui avait donc passer un mouchoir en souriant, puis elle me remercia en se retournant. Je soufflais, puis payais à mon tour. Une fois mon emplette terminé, je remarquais qu'il était encore tôt, donc j'avais le temps pour m'improviser une petite promenade. J'avais tout mon temps pour rentrer a Richelieu, car je n'était pas obliger d'y aller, mais vu que je n'avais nul part autre où aller, je n'avais pas trop le choix pour le coup, j'y passait donc la bas mes week-end ainsi que mes vacances, car c'était le seul moyen que j'avais pour pouvoir rester dehors en plein jour, et en temps que vampire j'avais le droit de sortir la nuit.

Je me promenais donc dans les rues de cette ville de banlieue parisienne, il faisait bon et le ciel noir était dégagé, on pouvait y voir quelques étoiles. Je passait devant les magasins, les restaurants, devant d'autres personnes qui se promenais, mais je commençais a m'ennuyer rapidement... Se promener seule n'était pas très amusant, mais bon les seuls personnes que je côtoyais, qui était des vampires, avaient des choses a faire le week-end ou des endroit à aller ou rentrer chez eux. Je voulais pas être avec des personnes qui n'étais pas des vampires, qui n'était pas immortel, du moins le moins possible. Pas que je ne les aimaient pas, mais je n'aimais pas l'idée du risque de les faire souffrir et donc de me faire souffrir en les voyant vieillir et pas moi...

Soudainement, alors que je marchais dans une ruelle déserte, j'avais entendu du bruit, et plus précisément des larmes, des gémissement. Je me rapprochais alors de ses bruits intrigué par l'identité de cette personne qui paraissait tristes ou bien blessé. Je vis donc au bout de cette ruelle, un jeune homme blond à genoux par terre, je ne distinguais pas bien son visage d'où j'étais, mais il me disait quelque chose. Et un me rapprochant encore un peu, je finissait par le reconnaître.

- Chris ? Mais qu'est ce que tu fait là ?

J'accélérais alors le pas pour arriver à la hauteur du jeune homme à genoux, c'était un garçon de ma classe, je le connaissais depuis un petit moment, mais je ne lui avait jamais réellement parler, en fin du moins je n'avais jamais eu de longue discutions avec lui. Je le trouvais sympathique, il était en quelque sorte un peu comme moi, il n'aimais pas faire du mal au gens ou les tuer. Mais je me demandais ce qu'il faisait ici et pourquoi il était dans un tel état d'effondrement, il était littéralement en larme, alors que d'habitude, quand je le voyais, il semblait être une personne plutôt joyeuse. Je me mis alors accroupi pour me mettre a sa hauteur et mettais une main sur son épaule.

- Mais qu'est ce qu'il t'arrive ? Pourquoi est-ce que tu pleur au milieu d'une ruelle?

Je n'aimais pas voir des gens triste, surtout quand ils étaient gentils, je ne comprenais pas son états, donc je voulais savoir se qu'il se passait, sa me surprenais beaucoup de le voir ici sur le coup. Je le regardais donc en attendant se réponse, et il finit par me répondre entre deux sanglots. Je l'aidais alors ensuite a se relever pour tenter d'avoir des explications.

J'étais si désemparer que je n'avais pas entendu la personne s'approcher. Cela aurai pu être dangereux ... Très dangereux même ...

Une main se posa sur mon épaule, et une voix familière pénétra ma bulle de souffrance. Je relevais la tête, les yeux bouffis à cause de mes pleurs. C'était Jenny, une vampire de ma classe. J'étais à la fois rassurer que se soit elle qui me trouve et à la fois gêner. Jenny était la seule personne qui pouvais vraiment me comprendre mais je n'aimais pas qu'on me vois dans cet état.

Je lui répondis entre deux sanglots que j'étais un monstre. Elle attendit que je me calme un petit peu avant de m'aider à me relever. Elle n'étais apparemment décidée à connaitre la raison de mon état. Sans un mot je l'incitais à me suivre. Je n'eus pas besoin de me retourner pour deviner qu'elle me suivait. Je me dirigeait vers le cimetière que j'avais quitter quelques temps auparavant.

Je m'arrêtais devant quatre monticules de terre retourner : " je les ai tués ... Tous, sans pouvoir me contrôler. Je les ai assassinés de sang froid." Ma voix étais serrée. Je n'arrivais plus à articuler mes mots, tant mes sentiments de culpabilité étaient fort.

Ma lèvre inférieur trembla, je contenais avec peine, toute la tristesse qui m'envahissait. Je fixais Jenny, qui n'arrivait pas à se détacher de ces quatre tombes fraiche. Son regard terrifié me brisais le coeur. Son regard confirmait ce que j'étais ... Un monstre. Mes larmes que je contenaient avec difficulté déjà, roulèrent sur mes joues sans que je puisse rien faire.

Je voulus me détourner, partir, laisser là la dure vérité. Mais je ne pouvais me détourner de celle-ci. Mes jambes qui tremblaient fortement finirent par ne plus me porter. Je affaissais au sol. J'étais pris de nausée.

Jenny sorti enfin de sa torpeur et m'apporta son soutient pendant mon amertume s'extériorisait. Une fois calmer, elle m'aida à sortir de ce lieu lugubre. On alla s'installer dans un petit square à quelles que rues de là. On s'assit sur un banc, côte à côte.

Elle voulait savoir ce qui s'était passer. Pourquoi j'avais perdu le contrôle. Je lui racontais tout depuis le début, vidant mon sac. Une fois que j'eus fini, nous restions un moment dans le silence. J'attendais de voir sa réaction.

Ce soir-ci, j'ai donc été dans un magasin près de l'école Richelieu pour pouvoir m'acheter des affaires scolaire qui me manquais. Et une fois que j'avais acheter ce dont j'avais besoins, j'étais en route pour retourner a l'école, mais en passant par une ruelle déserte j'étais tombée sur Chris qui était en larme... J'avais donc accouru a sa hauteur pour voir ce qui lui arrivait, et en le lui demandant, il m'avait répondu qu'il était un monstre. Je ne compris pas tout de suite pourquoi il disait cela, puis quand il réussit a se calmer un peu, je l'avais aidé a se remettre debout. Je regardais alors en attente de réponse, car ça me tracassais de le voir ainsi, j'en avais mal au cœur pour lui. Mais alors que j'attendais des explications, il ne dit rien, me regarda, et ce mit alors a marcher dans l'autre sens. Je le suivais donc, pensant qu'il désirait me montrer quelque chose... Mais en voyant sont état, j'espérais juste que ce n'était pas trop grave. Je me demandais où est ce qu'il pouvait bien m'emmener, mais je compris rapidement en nous voyant nous rapprocher du cimetière. La situation commençais un peu a m'effrayer, pourquoi est ce qu'il m'emmenait ici... On s'arrêta ensuite devant quatre monticules de terre, je compris alors a cette instant pourquoi il était dans un tel état, et ce qu'il avait fait...

- Chris, mais qu'est ce que tu a fait?!

Je lui demandais cela car j'étais surprise de ce que j'avais sous les yeux, je n'en revenait pas. Il avait tué quatre personne le même soir. Je regardais ce qui ce trouvais devant moi avec de grand yeux, sur le moment, j'avais été envahi par un sentiment de terreur et presque de dégout, mais si c'était Chris qui avait fait ça il devait y avoir une raison, il ne les auraient surement pas tuer pour le plaisir. Je tournais ensuite mon regard vers lui et le vis ne pouvant dire un seul mot, et des larmes pleins les yeux, qui coulaient le long de sa joue. Je le vis ensuite s'effondrer au sol, et me précipitais alors une nouvelle fois pour l'aider.

- Vient lève toi, on va sortit d'ici...

Lorsqu'il se calma un peu, je l'aidait a se relever, puis on sortit du cimetière et je cherchais un endroit où nous pourrions nous asseoir et discuter tranquillement. Nous passâmes devant un petit parc et je décidais d'y entrer. Nous nous installâmes donc sur un banc.

- Dit, qu'est ce qui c'est passé? Comment ça se fait que tu as perdu le contrôle ?

Il se mit alors a tout le raconter depuis le début et en détail, il avait sauvagement vider de leur sang ces quatre homme. Apparemment, il avait choisis cette homme ci car il maltraiter une autre personne, et il avait perdu le contrôle au moment où les amis de la personne a qui il avait vider le sang était arrivé. Une fois qu'il m'avait tout expliqué, j'étais rester un moment sans dire un mot, repensant a la situation, et a ce qu'il venait de lui arriver. Je le regardais ensuite, et décidais d'essayer de lui remonter le morale, car il avait vraiment l'air pas bien...

-Tu sait... Ce n'est pas si grave que ça que tu est perdu le contrôle... Enfin si, enfin nan... Enfin je veut dire que ça peut arriver a n'importe qui, tu ne l'a pas fait exprès... Tu n'as pas eut le choix. Tu ne peut pas t'empêcher de faire certaine chose en étant ce que tu est...

Je mis ma main sur son épaule et tentait de le consoler, mais je ne savais pas si ce que je disais lui remontrait réellement le morale, même un minimum... Car généralement je n'était pas très douée pour ce genre de chose... J'essayais de dire quelque chose gentils, et parfois ça finissais en pire... J'allais juste au moins essayer de le faire arrêter de pleurer, de ce morfondre, et peut être avec un peu de chance le faire sourire, même un petit peu...

Jenny essaya tant bien que mal de me remonter le morale. Ses paroles n'étaient pas vraiment réconfortante mais ses efforts me faisaient du bien. Je fini par me calmer peu à peu.

Je reniflais, assis sur le banc regardant droit devant moi. J'avais pris la vie de quatre personnes. Je n'avais jamais perdu le contrôle. Il fallait voir le bon côté des choses. Certes je venais de prendre la vie de plusieurs jeunes gens, mais ces derniers n'étaient pas des gens bien. De plus, je n'avais fait que quatre victimes. Beaucoup d'entre nous en aurai fait beaucoup plus même si je commençais a faire partie des anciens. J'avais surement soulager de nombreux humains qui subissaient les violences de ses jeunes personnes mal tourner. Je leur empêchais de même de tomber plus bas.

Je leur privais aussi d'une vie et de leur chance de se racheter... Je privais une mère de son enfant... Mes pensées devenaient négatives. Je chutais de nouveau dans le gouffre de la mélancolie.

Mais Jenny était là, elle veillait sur moi. Elle ressenti mon changement d'humeur. Elle me prit donc la main, ce qui me surpris car rare était les marques d'affections chez cette fille timide et prudente. Malgré la surprise, son geste me soulageait. Elle apportait du baume à mon coeur douloureux. Je n'étais plus seul dans cette épreuve. Je lui proposais de marcher un peu. Nous nous éloignâmes du parc et du cimetière pour errer dans les rues.

La ville était traversée par un canal. Nous décidâmes de déambuler le long de sa rive. Nous discutâmes de tout et de rien.
Très vite, la joie me revînt, effaçant le triste épisode de cette nuit. Nous mîmes à rire e tout et de rien. Puis l'aube commença à paraître. Nous retournâmes en ville.

" Merci Jenny. Je peux te demander une dernière chose ? J'aimerai que tu ne parles à personne de ce qui c'est passé. Je ne tiens pas que les autres apprennent que j'ai perdu le contrôle et que je déprime à ma simple idée de tuer quelqu'un. Merci pour cette nuit en tout cas ! Grâce à toi, je me sens beaucoup mieux. A Lundi !"

J'étais donc assis sur un banc en plein milieu d'un parc en compagnie de Chris, qui n'allait vraiment pas bien... Il était dans un tel état car c'était l'une des première fois qu'il avait autant perdu le contrôle. Donc l'ayant trouvé je faisait de mon possible pour lui remonter le morale, du moins j'essayais de le faire aller un peu mieux... J'avais essayé de lui faire comprendre que ce qu'il avait fait n'était pas si grave que il en paraissait, ça aurait pu être bien pire, il aurait pu tuer des personnes plus innocentes. Je faisait donc de mon mieux mais j'avais un peu de mal, et le voyant se morfondre une nouvelle fois, je lui avait pris la main pour tenter de le consoler et lui montrer que j'étais là pour le soutenir. J'étais toujours prête a aider les personnes qui en avaient besoins, et encore plus lorsque ces personnes étaient sympathique comme Chris. Ce n'était pas tout les jour que je montrait de l'affection envers les gens, mais je savais le faire quand il le fallait, et là il en avait besoins...

Je vis que cela avait l'air de le rassuré un peu, ce qui me fit plaisir, il fallait qu'il comprennent qu'il ne pouvait pas être seul a supporter a tout ça. Il me proposa ensuite de sortir du parc pour marcher un peu, j'hochais alors la tête et nous partions alors de cette endroit tout en nous éloignant du cimetière. Nous nous mîmes alors a marcher dans les rues diverse de ville. Puis nous remarquâmes un canal non loin de là et nous prîmes donc la décision de d'y marcher le long, tout en discutant un peu de tout et de rien, pour tenter de lui faire oublier sa mésaventure, et en même temps parler un peu de nous vu que, a Richelieu, nous nous parlions que peu souvent. Je remarquais alors que Chris se remit assez rapidement a sourire, il avait l'air d'être moins malheureux que tout à l'heur, ce qui me rassurais et me faisait sourire. Au bout d'un long moment de discutions nous finîmes par presque par plus trop penser à l'incident de cette nuit. Et nous réussissons même par finir par rire dans nos discutions.

Nous parlions presque toute la nuit, car nous vîmes le jour commencer a se lever. Le fait de se parler n'avait pas seulement fait du bien a Chris, mais a moi aussi , car ce n'était pas souvent que j'avais de longue discutions avec des gens, enfin sa m'arrivait certes assez souvent de parler a des personnes, surtout vampire, mais que très rarement autant que se soir là. Nous décidâmes donc ensuite de rejoindre la ville, car il fallait éviter de rester dehors alors que le jour se levais... Et moi il fallait aussi que je songe peut être a rentrer a Richelieu... j'étais partis pour aller chercher un simple cahier, j'en avait quoi, pour une demi heure, et du coup j'y est mis la nuit. Mais bon la sortie en valait la peine... Une fois de retour en ville, Chris me remercia, avant de me demander s'il pouvait me demander une dernière chose, j'hochais alors bien évidement la tête, et il rajouta qu'il aimerait que je ne parle a personne de ce qui c'était passé, il ne voulait pas que les autres apprennent qu'il est perdu le contrôle, et qu'il est déprimé au fait qu'il est tué quelqu'un. Il me remercia ensuite également pour cette nuit, que grâce a moi il ce sentait beaucoup mieux. Je le regardais a mon tour.

- Mais de rien, c'est normal. Et ne t'en fait pas pour ça, je n'en ne dirais pas un mot. Tu peut me faire confiance ! Lui annonçais-je en souriant. Et puis merci aussi a toi aussi, je suis contente e t'avoir parlé aussi. Rajoutais-je aussi toujours avec le même sourire.

Nous nous saluâmes ainsi avant de nous quitter pour rentrer chacun dans son chez soit, enfin pour ma part a l'école... Je pressait alors le pas en utilisant ma vitesse vampirique pour rentrer, pour éviter de me prendre le soleil, car ça pourrait être légèrement problématique...