Ce soir comme beaucoup de soir je n'arrivais pas a fermer l'oeil.
J'avais, au début tourné un peu avant de me decider a prendre l'air pour me changer les idées. J'ouvris alors la fenêtre de ma chambre et grimpa sur le toit. Le ciel était noir d'encre seules quelques étoiles et quelques avions l'éclairait formant de petit point clair dans cet univers sombre. On pouvait distinguer encore les nuages qui se détachaient du ciel par des couleurs bordeau ou violette. La rue était déserte, le béton sombre des trotoires se fondait a certains endroit avec le goudron de la route tant il faisait noir, a d'autre on les distinguait clairement grâce à l'éclairage municipale. Les lumières dans les maisons étaient toutes éteinte. Je songeai alors aux milliers de personne qui dormait a cette heure-ci et qui révaient probablement de plein de choses, de vacances, d'amour, d'aventure, de liberté que sais-je d'autre ? Ma pensée fut intéromput par le bruit de scooter, des jeunes s'amusaient a faire des tours dans la zone pavillonaire: ils n'avaient donc rien de plus constructif a faire ?
Et dire que certain à l'autre bout de la terre étaient a présent entrain de se lever pour aller travailler. J'eu soudain un frisson, les nuits a la fin de l'été étaient fraîches à Paris. Néanmoins je ne rentrai pas tout de suite, appréciant le calme de cette magnifique nuit. Je le vais encore une fois les yeux vers les étoiles. Je pensais alors à ces milliars d'étoiles a des millions d'années lumière de nous, qui étions nous dans le fond ? de simples fourmies dans cet univers gigantesque.
Une nouvelle bourasque de vent me fit frissonner, les arbres chanterrent alors tandis que leurs feuilles s'entrechoquaient dans une mélodies douce et agréable. Un chien abboya soudain et je tournais la tête: c'était la voisine qui le sortait. Elle me salua et je fis de même. Elle était encore toute ensomeillée et gronda son chien de faire tout ce boucan. Il ne falut pas beaucoup de temps pour que j'entende a nouveaux le bruit de la porte se refermer puis celui la clé de sa maison tourner dans la sérrure. A présent le silence reignait a nouveau, quelques bourdonnement d'avion virent trahir leur présente, je levais alors les yeux vers le ciel a la recherche de celui qui avait brisé ce silence mais ne le vit pas.
Je remarquais alors une lumière dans la maison du voisin. Puis en regardant mieux je me rendis compte que c'était simplement la faible lueur des fares de sa voiture qu'il avait oublié d'éteindre. Mon voisin était un passionné des scrapates. Je ne lui avais jamais parlé. Beaucoup de sorciers de nos jours avaient des voitures, même moi j'en avais une. C'était beaucoup moins fatiguant que de se teleporter. Une nouvelle vague de froid avant que je n'eu l'idée de me crée un compagnon de feu: je créa aussitôt un loup. Fidèle ami il vint sur mes genoux et me rechauffa quelque peu.
Je levais encore une fois les yeux vers les étoiles mais me rabatti sur la contemplation des nuages encore visibles car l'éclairage publique m'empechait de distinguer convenablement les petit points blanc. Comme une enfant qui s'ennuit un après-midi seul chez elle, je me mis a chercher quel forme pouvaient avoir les nuages. L'un deux resemblait à un dragon d'Outre-tombe et celui du dessous resemblait a...un squellette de poisson: rien de bien interresant. Je fis ensuite disparaitre le loup car a présent j'avais trop chaud, cependant une bourasque de vent vint a nouveau me glacer le sang et j'eu de nouveau froid. Je n'entendais a présent que ma respiration ainsi que de leger bruit de pneu et de moteur venant de loins.
Un chien abboya et ce devint bien vite un concert symphonique seulement il n'y avait pas de chef d'orchestre a ce concert laissant les abboyement aller a tout va et dans tout les sens. Bien vite cependant ce fut le final, surement les propriétaires avaient-ils calmer les ardeurs de leurs compagnons.
Une nouvelle voiture passa devant mon poste d'observation préféré. J'aimais venir ici lorsque je n'arrivais pas a dormir, j'aimais refflechir a toute sorte de choses. Aussi bien a ma vie qu'a mes amis ou a mes choix. C'était d'ailleurs bien souvent durant ces nuits d'insomnie que mes idées venaient. Je les notais alors sur un morceau de papier avant d'aller me coucher, puis en les relisant le lendemain matin je les modifiais bien souvent ou roulais en boule la feuille de papier et la lançais dans la corbeille. Un nouveau vent me fit frissoner, je descidai de rentrer avant de tomber malade. Je me levais et repassais pas la fenêtre pour retrouver la chambre chaude de la maison. Une fois la vitre fermée plus aucun son de l'exterrieur me parvint. Pas un seul bourdonnement ni un seul aboyement. Je me mis alors a bailler. Je me tournais et me dirigeais vers mon lit. Je bus un peu d'eau et m'alongais en songeant encore a tout ce que j'avais vécu. Je me redressais soudain et notai quelques idées sur un petit calepin avant de me recoucher. J'éteignis la lumière avant de fermer les yeux pour plonger dans de magnifiques rêves.
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