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 Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin]

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Sulpicia Vasilii
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Sulpicia Vasilii


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MessageSujet: Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin]   Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin] EmptyMar 27 Déc - 16:22

Jeudi soir, fin des cours et… Un petit creux pour moi. Troisième semaine de cours, et j’avais bien l’impression de ne pas avoir assez de meurtre sur mon compte. Ça faisait un petit moment que je ne m’étais pas amusée avec la nourriture. Je buvais du sang frais, sans jamais prendre plaisir à jouer un peu. Bon, et bien ce soir je le ferais ! Il ne me restait plus qu’à me décider où j’irais choisir un jeune homme à croquer. Le choix était assez vaste, et j’avais du temps pour me décider, faisant quelque peu beau aujourd’hui, je ne pouvais pas encore sortir sans me faire brûler par les rayons du Soleil. Heureusement, l’hiver approchait rallongeant alors les nuits, les faisant arriver plus vite et partir plus tard. C’était pour cette raison que j’appréciais cette saison, grâce à elle, je pouvais sortir plus longtemps et, en plus il y faisait pas beau… Me permettant ainsi de sortir même en pleine après midi ! Mais, nous venions qu’au terme de l’été…

Après un long moment de réflexion, je me décidais à aller au bar chantant de Paris où j’allais fréquemment. Depuis le mois de Juillet, je n’y vais pas remis les pieds, je reverrais sans doute quelques têtes familières comme celle du barman qui me laissait grassement, entrer dans son bar, pensant que j’étais juste là pour chanter. Après tout, j’étais mineur chez les scrapates, ce qui réduisait mon champ de chasse… Mais certains patron de bar me laissait entrer pour des excuses X ou Y. Pour celui-ci, c’était parce qu’il pensait que j’étais l’une de ses adolescentes qui voulaient se faire connaître dans la chanson. Dans mon cas, c’était juste pour attirer des jeunes musiciens sous mes crocs… Mais ça, il ne le savait pas. Tant qu’il me laissait entrer dans son bar, tout allait bien.

Une fois le Soleil couché, je quittais le château Richelieu pour aller à la capitale française. Comme à mon habitude, je pris un taxi, cette fois-ci, je n’allais sans doute pas le payer, juste le croquer de façon à commencer mon repas. Il ne fallait pas oublier que j’étais avant tout une vampire qui était plutôt gourmande, et que je n’avais pas beaucoup de meurtre à mon actif depuis la rentrée. J’étais assez calme depuis mon retour à Richelieu, il fallait bien reprendre ses bonnes habitudes de vampire tueuse et joueuse ! Tout ce qui me chagrinait, c’était le fait qu’il y ait des embouteillages… Direction Paris, ce n’était pas le top… Il y avait eu un accident, ce qui retardait tout le monde. Il fallait faire avec, et ce temps passer à me tenir tranquille dans la voiture, me donnait juste plus faim. Ça me donnait juste envie de manger encore plus, enfin boire en l’occurrence.

Je fis arrêter le taximan dans une rue peu fréquentable de Paris. Je lui demandais combien je lui devais, et il me donna la réponse. Je m’avançais alors de mon siège pour lui tendre quelques billets et lorsqu’il se retourna vers moi, il laissa échapper un cri de terreur en voyant mon visage vampirique. Je souris et lui sautais à la gorge avant de le vider proprement de son sang. Je remis l’argent dans mon sac à main, descendis de la voiture et y mis feu en disparaissant rapidement. Même à la capitale il y avait des voitures brûlées ! Qui l’aurait cru… Une ville aussi chique... Mais il est vrai que tous les quartiers n’étaient pas fréquentable, surtout quand je passais par là. Je souris alors en sortant de ce quartier mal famé et me dirigeais vers le bar convoité. Par chance, de temps à autre je faisais l’effort de me nourrir proprement, sinon j’aurais dû me changer avant d’aller chanter pour attirer un deuxième repas. Chanter pour attirer des victimes… ça me ferait presque penser aux sirènes des océans qui attirent les marins naïfs… Lorsque je fus devant le bar, j’y entrais avec un sourire d’adolescente émerveillée et partis au bar pour saluer le barman qui me connaissait depuis quelques années déjà. Il m’accueillit alors chaleureusement.

- Ah ! Sulpicia ! ça fait bien longtemps que je ne t’ai pas vu ! Et que je n’ai pas enteud ta douce voix. Comment vas-tu ?
- Je vais plus que bien, et toi ? Je peux y aller ??
- Je vais bien aussi. Bien sûr, la scène est à toi pour une trentaine de minutes, un groupe arrivera après. Tu veux nous chanter quoi ?
- Merci ! Je ne sais comment te remercier de me prêter ta scène alors que… Je baissais d’un ton. Je n’ai pas dix-huit ans... Je repris mon intonation normale. Et pour la chanson, ça sera « Make me wanna die » de The Pretty Reckless, s’il te plait.
- Vous avez entendu les gars ? « Make me wanna die » de The Pretty Reckless pour la demoiselle. Vas-y Sulpicia, en scène et fais nous entendre ta voix!

Je lui souris et montais sur scène pendant que les musiciens préparaient leur instrument et cherchais la mélodie à jouer. Il y avait de nombreux regards fixés sur moi, et la plus part était des jeunes de la gente masculine, ce qui me fit sourire. Pour une fois, je n’avais pas une tenue grandement osée, de simples escarpins noirs, un slim de la même couleur, un top violet légèrement décolleté avec une veste en cuir noir. Enfin, ça me laissait le choix niveau repas… Les musiciens commencèrent à jouer, et lorsque ce fut le moment de commencer à chanter, je le fis.

Paroles de la chanson:

Vers la fin de la chanson, un homme d’une trentaine d’année vint sur scène et m’accompagna dans ma chanson. Et voila, il serait le dîner de ce soir, il était séduisant et avait une belle voix, son sang ne devait être que délicieux. Lorsque la musique se termina, je le complimentais sur sa façon de chanter descendis de la scène pour aller au bar. Le barman me félicita comme à son habitude et je déclarais qu’il se faisait tard et que je devais rentrer chez moi. Il me souhaita bonne soirée, mais le chanteur qui m’avait accompagné me demanda si j’étais obligée de partir et je répondis par une réponse affirmative. Il me demanda de rester, rajoutant qu'il m'invitait à boire.

- Je ne fais que chanter ici... Je suis mineur.

Pour une fois qu'être mineur était utile. Je ne pouvais pas le tuer devant tout le monde, et je ne pouvais tuer tout le monde... J'aimais bien chasser ici, et chanter de temps m'étais agréable. Même faire de nouvelle rencontre devenait amusant, même si c'était pour que ces rencontres meurent après. Bon, dans le font, je n'étais pas mineur mais dans ce monde si, je devais m'accommoder avec. Mais je pouvais m'adapter à toutes les situations. Je saluais donc mon futur repas, et il me demanda mon nom. Je lui répondis donc que c'était un mystère... Je me levais donc et quittais le bar sachant que le trentenaire allait me suivre, il s'intéressait à mon nom... Il allait le voir, et il l'aurait avant de mourir. Je me dirigeais ensuite vers une ruelle sombre, lorsque j’entendis les pas du séducteur derrière moi. Je m’arrêtais.

- Mais qui à l’honneur de me suivre ainsi ? Quel est donc votre nom ? Si je n’étais pas celle que je suis, je vous prendrais pour quelqu’un qui me voudrait du mal…
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John Randall

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MessageSujet: Re: Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin]   Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin] EmptyMer 28 Déc - 17:12

Les recherches sur Damon William Stanford m'avait conduit das la banlieue parisienne. J'avais étudier les moindres information sur ce personnage malfaisant et pourtant certaines choses incohérentes m'échappaient ; comme le fait que toutes ses demeures appartiennent de moitié à une certaine Sulpicia Vasili. Il est vrai que ce cher Damon avait passer beaucoup de temps avec cette femme, il y a de ça quelques années. J'avais mis cette action sur le compte d'une relation passionnée entre eux. J'avais donc laisser à part cette voie. Était se une erreur ?

Soit dit en passant on en était déjà à la troisième semaine de septembre et je n'avais toujours aucune nouvelle fraiche de ma proie. Ce jeudi là, en manque d'action, j'avais pris ma voiture pour Paris. Je me baladais en voiture dans les différents quartier tout en écoutant la fréquence des autorités. Chose interdite certes mais mon métier de chasseur m'obligeait à me tenir informé de ce qui se passait dans les alentours de façon à agir plus vite. De plus, cette fréquence me rappelais mon ancien travail. En tant qu'ancien policier, je ne pouvais résister à la tentation de aire régner la justice et la paix dans les rues et entre ces deux mondes.

Je roulais dans un quartier mal fréquenté de la ville lorsqu'une voiture brûler fût signaler à la police. Je me trouvais à quelques rues à peine de l'incendie. La voiture de patrouilleur n'arriverai sur le lieu que dans une quinzaine de minutes ce qui me laissais le temps d'aller voir. Mon instinct me disait que cette incendie de voiture probablement criminel n'était pas d'origine humaine. Cependant je n'arrivais pas à savoir pourquoi je pensais cela. Mais c'est cet instinct qui m'avait mainte fois permis de retrouver un vampire mal intentionné.

J'arrivais près de la voiture incendiée. Évidement les pompiers présents sur les lieu s'assuraient que personnes ne s'approchent. J'appris par quelques commérages que le conducteur de la voiture, qui était en réalité un taxi avait brûler lui aussi à l'intérieur. Il restait peu de chose de lui. Rien qui ne puisse me mettre sur une voie claire. Pourtant l'incendie avait tout d'un incendie préparer. La personne qui avait fait cela était une habituer. Je parierais même que le chauffeur était mort avant l'incendie. Je m'éloignais du lieu, plongé dans de lugubres pensées. Je passais devant un bar lorsque j'entendis une douce voix s'élever. J'entrais dans le bar, espérant y trouver des renseignements.

Je m'assis à une table, observant les personnes présentent dans la salle puis sur scène. Il y avait une jeune fille ravissante, chantant une chanson de The Pretty Reckless. Cette jeune fille à la beauté éclatante ne m'était pas inconnue. Je n'arrivais malheureusement pas à me souvenir qui elle était et où je l'avais déjà vu. Cependant une chose était certaine sa beauté était exceptionnel... Trop exceptionnel pour une simple humaine. Malgré son jeune age apparent, sa voix et son regard indiquaient une grande expérience. Plus je la regardais, plus je me disais que cette fille n'était pas commune et qu'elle était surement ici pour son diner. Je me pris donc à son jeu, montant sur scène afin de chanter avec elle. La chanson pris fin. Je fis une petite révérence avant de m'effacer pour la laisser passer.

Je la suivis jusqu'au bar où son patron la félicita et où elle annonça qu'elle partait. Je lui demandais de rester en lui proposant un verre. Malheureusement elle était mineur ou au moins d'apparence. Je la suivie dehors, je ne pouvais pas la laisser partir sans m'assurer qu'elle n'était pas l'un de ces dangereux prédateurs.

Ce sentant suivie elle se retourna, me demandant pourquoi je la suivais et mon nom. Elle en profita pour ajouter que je pouvais lui vouloir du mal à la suivre ainsi. Il me fallait trouver une idée assez vite. Je connaissais un bar ouvert à tous pas très loin de là. Je lui proposais donc de l'y emmener car j'étais désireux de faire plus ample connaissance avec une jeune fille à la voix si prometteuse. J'inventais une excuse pour la suivre ainsi, prétextant que je connaissais un groupe qui serai intéresser par une chanteuse. Je devais trouver un moyen de gagner sa confiance pour pouvoir l'approcher sans trop de problème. Le seul moyen que j'avais de la confondre avec un vampire était la bague en argent que je portais. Mais pour cela je devais la toucher et se n'était pas évident de l'approcher pour le moment.

Elle insista pour connaitre mon nom, alors je décidait de lui faire un peu de chantage : " VOus connaîtrez mon nom si vous accepter mon invitation."
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MessageSujet: Re: Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin]   Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin] EmptyMer 28 Déc - 19:43

Je descendis de la scène lorsque j’eus terminé la chanson. L’inconnu qui s’était invité à chanter en ma compagnie me laissa passer la première, je le remerciais d’un simple hochement de tête et descendis les quelques marches pour retourner au niveau du bar pour parler avec le barman. Une vieille connaissance qui me permettait de chanter dans son bar, mais qui ne me laissait pas boire un seul verre. Il ne vendait que de l’alcool et ayant l’apparence d’une adolescente de seize ans, je ne pouvais en boire. Il n’en restait pas moins sympathique. J’avais besoin de lui pour trouver des repas, c’était pour cette raison que je n’avais pas encore fait de carnage dans son commerce. Je pouvais parfois me montrer raisonnable, c’était rare mais je savais le faire. Ça m’avait d’ailleurs permis à plusieurs reprises de sauver ma peau.

Une fois en face du propriétaire du bar, celui-ci me complimenta comme à chaque fin de chanson. Je le remerciai donc poliment, tout en rajouta que je devais y aller, car il commençait à se faire tard. Il me souhaita donc une bonne soirée et je fis de même. Mais je fus retenu quelques instants par l’inconnu à la voix d’or, qui me demanda si j’étais dans l’obligation de partir. Je répondis à cela, que je l’étais et, il insista tout en me proposant un verre. Je déclinai alors son invitation, prétextant que j’étais mineur et que je ne pouvais donc rien boire ici. Si je désirais tant sortir, c’était parce que je pouvais me permettre de le tuer ici, devant tant de témoins. Et j’appréciais assez ce bar, je n’allais pas tuer le patron des lieux. C’était un bon lieu de chasse, alors autant en profiter et éviter de le saccager !

Avant de sortir, je saluais le chanteur qui me demanda mon nom, mais je refusais de le donner. Premièrement, je n’avais aucune obligation envers lui, deuxièmement je ne dois jamais mon nom à quelqu’un, tant que je n’étais pas sûre à cent pourcent qu’il serait mon repas. Je me voulais discrète, je ne voulais pas qu’on puisse me retrouver grâce à mes meurtres manquer. J’étais ainsi, je surveillais un minimum mes arrières. Je n’avais que quelques années comme vampire, mais ça faisait seize ans que j’amusais dans le dos des gens, sans vouloir me faire prendre, il était donc normal que m’y connaisse en minimum.

Dans la rue, je m’avançais vers une ruelle sombre, lorsque je fus à l’intérieur de celle-ci, je sentis la présence d’une personne derrière moi. Je pouvais mettre ma main à couper qu’il s’agissait du fameux chanteur… Je m’arrêtais donc et puis me retournais avant de demander qui avait l’audace de me suivre en demandant son nom, et en rajoutant que si je n’étais pas celle que j’étais, je pourrais croire qu’on me voulait du mal. Il resta silencieux un court instant et répondit qu’il voulait m’inviter à boire un verre dans un bar ouvert à tous car, il voulait faire connaissance avec une jeune femme à la voix prometteuse. Le son de sa voix sonnait presque faux… Son cœur battait plus vite… Etait-il entrain de mentir ? Pourquoi me mentirait-il ? Cela m’intriguait. Il rajouta ensuite, qu’il connaissait un groupe qui cherchait une chanteuse. Un nouveau mensonge ? Il en avait tous les signes en tout cas. Être vampire avait du bon, on pouvait sentir ce genre de chose, du moins quand on cherchait à les entendre et les comprendre. Avec tout cela, il ne m’avait toujours pas donné son identité.

- Votre nom s’il vous plait… J’apprécie savoir à qui j’ai à faire…

Il fit alors du chantage, répliquant que si je voulais son nom, il me fallait le suivre. Oh… Jouer à ce jeu là avec moi pouvait être bien dangereux. Je n’étais guère du genre à me laisser faire par mon propre terrain de jeu… Mais ce personnage m’intriguait énormément. Pourquoi mentir, et pourquoi ne pas vouloir me donner son nom ? En ce qui me concernait, j’avais des raisons de le faire : j’avais un secret. Mais lui… Que cachait-il ? Que me voulait-il ? Tant de questions… Malgré ce chantage que je trouvais tout bonnement inutile car, je saurais son nom une fois vidé de son sang, je voulais moi-même en apprendre plus sur lui.

- Et bien… Vu comme ça… Je vais devoir accepter monsieur.

Je m’avançais alors vers lui, et vis sa chevalière. J’avais un doute, argent ou or blanc ? Je ne prendrais aucunement le risque de me faire toucher. Je m’avançais donc vers lui en souriant et puis il me proposa son bras. Je fis alors une pirouette sur un pied pour éviter qu’il ne me touche et puis me mis en face de lui quelques pas plus loin. Je lui souris de nouveau et déclarai sur un ton innocent :

- On ne me touche pas, tant qu’on n’a pas l’accord de mes parents… C’est là règle de la famille monsieur.

Il fallait bien trouver quelque chose pour garder une certaine distance de sécurité. Même s’il attirait énormément ma curiosité, j’avais l’impression de devoir faire plus qu’attention en sa compagnie. Dans un bar, ça devrait aller, il y avait beaucoup de personnes. Il ne pourrait rien me faire, et moi je ne pourrais pas le toucher non plus. Autant faire connaissance avant de le tuer, je pourrais ainsi savoir à quoi m’en tenir. Je pouvais toujours changer de repas, j’avais toute la nuit pour ça après tout. Je jouais peut être un peu avec le feu, mais je voulais savoir qui était cet étrange personnage…

- Bon, et bien allons dans votre bar ouvert à tous… Mais il ne me faut pas veiller trop tard, mes parents seraient furieux.

Ah les parents… Je me rappelle de toutes vos interdictions et vos conseils, ils me servent énormément pour me donner des excuses pour devoir me dépêcher. Il s’avança donc à ma hauteur et m’invita à me suivre, sa bague me frôlant presque, mais je faisais tout pour qu’elle ne me touche pas avec discrétion. Nous marchions donc en silence, et parlions du groupe dont il m’avait parlé, il semblait réellement mentir. A chacune de ses paroles, son pouls accélérait, ce qui me donnait encore plus envie de le mordre… Heureusement que pour une jeune vampire, je savais me tenir, heureusement pour lui surtout.

Nous arrivâmes dans le bar et nous nous mîmes à une table pour deux. Un serveur passa par là, et l’inconnu l’interpella pour prendre une commande. Il annonça ce qu’il voulait, et me demanda ce qui me ferait plaisir. Ce n’était pas parce que je commanderais, que je boirais… Mais si ça lui faisait plaisir de me payer quelque chose, soit j’allais le laisser faire.

- Une simple limonade pour moi s’il vous plait.

Le serveur prit commande et partit préparer cela. Je regardais alors le trentenaire qui me regardais également. Je soupirais avant de reprendre la parole :

- Je suis dans ce bar, avec vous. Comment vous appelez-vous ?

Je tenais à avoir son nom… Et je tenais également à rester le plus loin possible de sa main, aucune envie de tester, pour savoir si c’était de l’argent ou de l’or blanc, ou même du toc ! Je ne voulais vraiment pas finir avec une brûlure et, par conséquent mettre mon secret en danger. Même aux yeux des scrapates ça serait étrange que quelqu’un brûle ainsi. Pour un sorcier, il comprendrait qu’il allait finir dans mon assiette. Non vraiment, plus le bijou était loin de moi, mieux je me portais.
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John Randall

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MessageSujet: Re: Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin]   Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin] EmptySam 7 Jan - 11:41

je craignais qu'elle refuse mon invitation. Après tout elle n'était peut être qu'une simple humaine ... En gentlemen, je lui proposais mon bras, évidement je m'arrangeais pour que ce soit celui où je portais à la main ma chevalière d'argent.
Je la vis jeter un bref regard à ma bague avant de faire une pirouette et s'en éloigner. Elle me sorti une excuse assez inattendu. Lui proposer mon bras pour marcher était loin d'être quelque chose d'inédit. Je laissais retomber mon bras le long de mon corps. Plus je restais en la compagnie de cette jeune femme dont je ne connaissais toujours pas le nom, plus il me semblait qu'elle était l'une de ces créatures que je poursuivais depuis de multiples années.

"_ Je ne faisais que vous proposer mon bras pour marcher rien de plus."

Elle me rappela que ses parents ne voulais pas qu'elle veille trop tard. Je pris donc les devants afin de la guider vers ce fameux bar ouvert à tous. A son regard j'eus l'impression qu'elle connaissait cet endroit. Je n'en dis rien pour le moment, décidé à reporter ma question à plus tard.

Nous nous installâmes à une table pour deux, puis j’appelais un serveur qui passait non loin afin de prendre commande. Mon invitée commanda une simple limonade tandis que je me prenais un coktel sans alcool. Le serveur parti chercher nos boissons et notre jeune personne en profita pour me rappeler que je ne lui avait toujours pas donner mon nom. Je souris d'un air charmeur afin de distraire son attention pendant que je réfléchissais à la conséquence que ça pourrait avoir.

N'en trouvant aucune dans l'immédiat, je décidais de céder à sa demande. Après tout c'était notre accord cependant je décidais de ne pas lui dévoiler mon nom de famille trop vite. Cela risquerais de mettre fin à notre rendez-vous trop vite, me privant ainsi d'informations cruciales.

"_Mon nom est John. Pourrais-je avoir l'honneur de connaître le vôtre ? "

Elle me regarda avec un sourire malicieux, s’apprêtant à me répondre, lorsqu'un autre serveur arriva avec nos boissons, elle ne m'avait toujours pas dit son nom jusqu'à présent et je doutais qu'elle le face. Cependant, son nom me fut tout de même donner de façon inattendu par le serveur, qui était apparemment, étonner de la voir en, et je cite, "si bonne compagnie". Je salue le serveur que je connaissais déjà depuis un moment pour l'avoir déjà parler plusieurs fois ici. J'appris ainsi qu'elle se nommait Sulpicia.

Lorsque le serveur prononça son prénom celle-ci parut embêter. J'en déduisis qu'elle n'avait effectivement pas prévue de me le donner. Le garçon, nous servît, puis discuta quelques minutes avec Sulpicia avant de retourner au bar. Je n'eu cependant pas assez de temps pour mettre de la poudre d'argent dans son verre.Le prénom Sulpicia ne mettais pas inconnu. Je sirotais ma boisson en silence , réfléchissant sur ce prénom.

Je posais mon verre afin de reprendre la parole une nouvelle fois.

"Ainsi, vous vous nommez Sulpicia. C'est un très jolie prénom qu'il vous a été donner. Ce serveur à l'air de bien vous connaitre. Dois-je en déduire que vous êtes une habituée de ces lieux ? c'est bien curieux car je ne vous y ai jamais vu. L'avantage est que maintenant nous savons tout deux à qui nous faisons face."

En prononçant ces paroles, je me rendis compte que je connaissais effectivement cette personne. Il ne s'agissait qu'autre que de Sulpicia Katherine Vasilii. Conquête de celui que je recherchais pour le meurtre de mes parents.Avec un peu de chance, j'arriverais à lui tirer des informations sur Damon William Standford. Je l'étudiais, l'air de rien. Les photos que j'avais d'elle remontais à trois ou quatre ans déjà et elle n'avait pas changer d'apparence. Seul ses yeux dans lesquelles je me perdais en ce moment même, témoignaient d'une expérience plus grande.

Sulpicia prétexta une envie présente pour aller discuter avec Andy, le serveur de tout à l'heure. Je profitais de son éloignement pour verser dans son verre, ce que je n'avait pas pu mettre la fois d'avant. Je saisi le petit sachet de poudre qui était cacher dans ma manche avant d'en versé le contenue dans son verre. La quantité minime était invisible et sans danger pour une humaine. Cependant, si mon invitée était un vampire, elle aurait la gorge irrité par l'argent.

Sulpicia revînt juste après. Je discutais patiemment avec elle en attendant qu'elle vide le contenu de son verre.
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MessageSujet: Re: Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin]   Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin] EmptySam 7 Jan - 13:46

J’entrais dans le bar en compagnie de l’inconnu tout en restant un minimum méfiante. Il possédait une bague de couleur argent, mais je ne savais de quelle matière elle était faite, et ne voulais aucunement tester pour le découvrir. J’avais déjà été brûlée par de l’argent et ça n’avait rien d’agréable. Si je pouvais m’en passer, je le faisais ! De plus, je ne savais pourquoi mais j’avais l’impression que je me devais d’être méfiante envers lui, il y avait quelque chose qui clochait dans ce personnage… Mais ma curiosité bien trop grande, me demandait de découvrir de quoi il s’agissait…

Une fois à l’intérieur, nous nous installâmes à une table à deux pour discuter. L’inconnu interpella alors un serveur qui passait à côté pour passer une commande. Il me demanda ce que je souhaitais, je me décidais à prendre une simple limonade, que je n’étais pas sûre de boire, quant à lui, il prit un verre de cocktail sans alcool. J’étais déjà venue ici, je n’étais pas une habituée mais ça m’arrivait de passer de temps à autre par ici après une chasse peu fructueuse pour boire un verre avec un serveur qui m’appréciait beaucoup. J’avais ainsi droit à des verres gratuits en sa compagnie… Le charme était vraiment très utile pour avoir ce qu’on voulait…

Lorsque que le jeune homme partit prendre nos commandes, un léger silence s’installa entre le trentenaire et moi. Il semblait pensif, ailleurs… A quoi pouvait-il bien réfléchir ? J’appréciais tout savoir, tout contrôler mais, cet homme échappait à mon contrôle ce qui m’agaçait énormément… Je n’avais toujours pas eu le droit à son prénom. Mais le marcher passé devait me permettre de l’avoir ! Je l’interrogeai donc sur son nom. Il réfléchit un court instant, avant de répondre qu’il se nommait John. Je n’aurais sans doute pas le droit à son nom immédiatement mais, je l’obtiendrais par un moyen ou un autre ! Il me demanda soudainement le mien. Cela n’était pas dans le marcher conclu, je ne le lui dirais pas, ou pas le vrai. Je le regardais donc malicieusement, m’apprêtant à donner une information erronée mais, le serveur avec qui je buvais certains soirs était intervenu :

- Sulpicia ! Ravie de te voir ici ! Et en bonne compagnie en plus !
- Andy… Ravie de te voir aussi… Répondis-je quelque peu ennuyée.

Abruti fini ! Non mais de quoi se mêlait-il ? Je me retrouvais bien embêter maintenant ! Ah ! Il finirait en repas un jour ou un autre celui-là ! Je trouverais quelqu’un d’autre pour avoir des verres gratuits ! Et en plus de ça, il connaissait John… J’irais parler après avec ce cher Andy au sujet de la personne qui m’avait invité à boire. Après ces brèves salutations, le serveur nous donna nos verres et partit donner commandes aux autres clients. Je pris donc le verre et le mis devant moi, je commençais alors m’occuper les mains avec la paille. Le verre venant de quelqu’un que je connaissais plutôt bien ne devait pas être bien dangereux. Je finirais sans doute par le boire.

John prit soudainement la parole, parlant alors de mon prénom qu’il trouvait plutôt sympathique apparemment. Je lui souriais pour le remercier du compliment et, il rajouta qu’il avait conclu que j’étais une habituée des lieux, puisque le serveur semblait bien me connaître, tout en précisant qu’il ne m’avait jamais vu ici. Je ne fis que sourire, ne sachant quoi répondre à toutes ces spéculations. Il ne finirait sans doute pas en repas… Je le tuerais simplement… Aucune envie de perdre mon temps à le vider de son sang, je me méfiais trop de sa curiosité. Il s’exclama ensuite qu’à présent, nous savions l’un l’autre qui nous étions.

- Et ce n’est guère grâce à moi John… D’ailleurs, vous m’excusez ? Il faut que je parle à Andy.

Je me levais alors calmement pour aller rejoindre le bar où le serveur prenait des commandes de ceux qui ne restaient pas sur place pour boire. Je me mis non loin de la file et il remarqua ma présence. D’un signe de tête, je lui fis comprendre que je voulais lui parler immédiatement. Il me demanda alors à l’un de ses amis de prendre sa place pendant qu’il me parlait, rajoutant qu’il ne prendrait ainsi pas de pause. Il laissa donc ses clients pour venir me parler.

Une fois en face de moi, je le regardais quelque peu furieuse. Il me demanda ce qu’il se passait et, je lui expliquais que je ne voulais pas que tous les inconnus connaissent mon prénom, donnant l’excuse de la jeune femme légèrement paranoïaque au sujet des hommes plus âgés qu’elle. Je lui demandais alors s’il savait quelque chose au sujet de John. Malheureusement, ma demande d’information était peu concluante, tout ce que savait Andy, c’était qu’il s’appelait John Randall et qu’il était un client comme un autre : calme et qui ne buvait pas souvent d’alcool. Je soupirais et puis tournais le dos au jeune homme qui s’excusa avant de reprendre son poste en rajoutant, que de toute façon personne ne pourrait me faire de mal, avec le caractère que j’avais. Sur le coup, je ne savais pas si c’était un compliment…

Je retournais donc aux côtés de John reprenant la paille entre mes doigts. Nous reprîmes le fil de notre discussion, touchant des sujets diverses et variés. De temps à autres, il y avait des questions qui sous entendaient des informations personnelles, mais je les déviais toutes. Il avait déjà mon prénom, cela suffisait sans doute pour lui, il n’avait pas besoin de savoir quoique ce soit d’autre… Après quoi, je retirais la paille du verre pour boire à même le verre de limonade. Je bus une gorgée du jus de citron pétillant avant de sentir ma gorge brûlée et me mettre à tousser violemment : de l’argent. Jeune vampire, ce métal précieux me blessait plus facilement que les plus âgés. Je toussais donc un moment qui me sembla bien long avant de pouvoir respirer de nouveau normalement, sentant toujours mon œsophage brûlé un peu. Je relevais alors le visage vers John furieuse.

- Que me voulez-vous monsieur Randall ? Que vous ai-je fait ? Je ne le laissai pas répondre. Mais sachez qu’il me faudrait moins de cinq minutes pour tuer tous ceux qui se trouvent dans ce bar… Un autre pas de travers monsieur, et je fais un carnage en incluant votre mort…

Qu’avais-je à perdre ? S’il voulait ma mort, il l’aurait sans doute mais jamais sans ce que je me laisse faire. Hors de question de me laisser mourir pour lui rendre la tâche facile. Je tenais à mon éternité si difficilement obtenue, et me battrais pour la garder. Il me regarda d’un air quelque peu satisfait et je me décidais à ne pas rester plus longtemps en sa compagnie. Je me levais alors de table et lui tournais de dos avant de déclarer :

- Je suis dans le regret de devoir quitter votre compagnie mon cher… Espérant ne jamais vous recroiser et, espérant pour vous que vous ne me suivrez pas… A vos risques et périls.

Malgré la présence des scrapates, je disparus rapidement en prenant ma vitesse vampire pour quitter le bar par la sortie de derrière. Je fouillais en même dans mon sac pour prendre mon téléphone pour appeler une sorcière à l’aide : Alex’. Elle m’aiderait sans doute non pas pour moi, mais pour avoir le plaisir de se battre avec quelqu’un. Je m’arrêtais alors devant les portes de la sortie de secours qui étaient fermés par des chaînes et un cadenas. Je regardais alors autour de moi avant de briser les chaînes de fer en tirant dessus. Je sortis et trouvais à cet instant mon téléphone. A peine en main, il se mit à vibrer : plus de batterie, il venant de s’éteindre. Mais, ce n’était vraiment pas ma soirée. Et en plus, la sortie menait à une ruelle déserte. Je pris donc rapidement l’axe qui menait aux chemins avant d’entre le bruit d’un pétard et me retrouver face à John… Et bien, je n’avais plus qu’à me débrouiller toute seule…

- Vous n’avez guère choisi la plus gentille vampire du coin pour boire un verre… Que me voulez-vous ? Et qui êtes-vous ? Un traqueur de vampire ? Ou peut être, êtes-vous chercheur de l’immortalité ?

Même si j’étais quelque peu suicidaire sur les bords à cet instant, j’éprouvais une certaine peur des tournures que pouvaient prendre la situation...
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John Randall

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MessageSujet: Re: Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin]   Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin] EmptyMer 11 Jan - 17:33

Ma chère compagne n'apprécia pas l'argent dilué dans son verre de limonade. Je ne pus réprimer un sourire sadique face à la terreur qui régnait dans ses yeux et qu'elle essayait de me voiler. Puis, elle devînt hystérique sans l'être tout à fait. En effet, sa menace était loin d'être véridique. Je devinais qu'elle essayais simplement de gagner du temps pour s'enfuir.

Je continuais de sourire bêtement de façon sadique, espérant la désarçonner. elle voulait savoir qui j'étais, elle allait être servi, mais je crains que ma démonstration risque de lui déplaire ...

En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elle avait disparut. La porte de devant n'ayant pas bouger elle n'avait pu passer que par un seul endroit. Je payai nos boissons avant de sortir par la porte de devant. Je me dirigeai vers un coin discret afin de me téléporter dans une ruelle un peu plus loin.

"Tiens, tiens, tiens .... Mais qui voilà ? Ne serais ce pas cette chère mademoiselle Sulpicia Katherine Vasilii ? Vous êtes partie bien vite tout à l'heure ! Ce n'est pas bien de me faussé ainsi compagnie. Mais je veux bien vous pardonner .... Enfin, si vous accepter de répondre à quelques unes de mes questions... Il serait dommage de ne pas me répondre ... Je crois savoir que vous, les vampires , n'aimer pas beaucoup l'argent ... Et encore moins le bois. Je me trompe ? Ah et non, je ne tiens pas à devenir une sangsue de votre genre... J'ai même plutôt tendance à les détester."

Je la sentais tendu. En fait, elle l'était tout simplement. J'observais ses moindres mouvements, jusqu'à la contractions de chacun de ses muscles. En attendant sa réaction.

Elle fini par se reprendre, me demandant comment se faisait-il que je la connaissais ainsi. Il était bien évident que je n'allais pas répondre à sa question. Saurait été trop facile ... Bien au delà de lui répondre, je lui posais à mon tours une question.

"Connaitrais-tu un certain Damon Wiliam Stanford ?"

Suite à ma question , elle tenta de s'enfuir. Je me téléportais devant elle, lui montrant bien que c'était une mauvaise idée. Puis elle me répondit d'un ton précipité qu'elle ne le connaissait pas. Je savais qu'elle mentait pour avoir dans mon bureau des photos de elle et lui. Mais son ton, trop précipité, indiquait qu'en plus de le connaitre, il devait être dans la région.

Je me téléportais une nouvelle fois, mais derrière elle cette fois ci. Je sorti mon fil d'argent que je lui passais autour du cou, l'obligeant à se coucher sur le sol grâce à la pression que j'exerçais sur elle. Afin d'éviter une douleur plus vive, elle s’exécuta, laissant échapper un cri de douleur. Cela me fit presque plaisir !

Je relâchais un instant mon attention, lui tournant le dos pour réitérer la question. Malheureusement pour moi, elle trouva le moyen de se libérer et m'attaqua. Elle me sauta littéralement à la gorge. IL m'était difficile de contre-attaquer. J'avais une sangsue accrocher à ma gorge par derrière. Je réussi à sortir ma lame, et je l'embrochais, sans savoir exactement où. Elle lâcha prise, me permettant de me téléporter une nouvelle fois encore.

Malgré la douleur que me causait ma blessure, je me dépêchais de la plaquer de nouveau au sol, mais cette fois ci, je pris le temps de lui lier les poignet et d'éloigner son écharpe. Cette fois ci je ne ferais pas la même erreur. Elle me hurlais de la laisser partir. S'en était comique. Je ris un peu avant de poser ma question pour la troisième fois.

Auquel elle répondu encore négativement, me demandant de nouveau de la laisser. Toujours aussi sadique je ne peux que lui répondre : "Mauvaise réponse ... C'est dommage, tu aurais été gentille, je t'aurais surement épargner et tu serais chez toi à l'heure qu'il est ... "

J'aimais voir les vampires dans un tel état. Eux qui se croient si supérieur ! Je prenais plaisir à leur montrer à quel point ils pouvaient, eux aussi, être vulnérable. Je lui relevais les manches de ses avant-bras. L'avantage avec les vampires et l'argent c'est qu'on avait même pas besoin de couper pour qu'ils aient mal !

je restais de marbre lorsqu'elle cria et pleura de nouveau. J'arrêtais pour lui demander pourquoi, mon pire ennemis pouvais sortir au soleil. J'attendis patiemment la réponse, décidant de lui laisser un peu de répit. J'en profitais pour chercher un nouvelle endroit à abîmer. Je vis alors où je l'avais frapper plus tôt avec mon poignard. Trouvant son temps de réponse trop long, je recommencer à faire glisser ma lame le long de son avant-bras. Cependant j'en changeais, après tout , je ne veux pas qu'ils soient jaloux loin de l'autre ! et puis j'aime beaucoup la symétrie.

elle finit par craquer me hurlant une réponse évidente. Je n'y avais pas réfléchi. Il est vrai que si elle avait su comment il faisait, elle se serai surement débrouiller pour l'obtenir aussi. Cela me mis en colère. Je me mis à la torturé sans plus lui poser de question.

Je me plaçait au dessus d'elle. Un genou, sur son estomac poignardé, je sorti mes aiguilles et de l'argent liquide. Je versais le liquide directement dans la plait au niveau de son abdomen après avoir bien appuyer avec mon genou.

"Tu m'as l'air bien tendu ma chère Sulpicia ! Un peu d’acuponcture te ferais le plus rand bien ! "

Je commençais alors à enfoncé dans sa chair tendre, mes aiguilles plaquées argent... Je fus malheureusement interrompu par des bruits de pas, provenant de derrière. Je ne pris pas la peine de me retourner. Je me téléportais dans l'instant.

J'étais en colère. J'avais laissé ma proie dans la rue et je n'avais même pas fini mon travail. J'allais me coucher épuisé par cette soirée amère. Je ne pris même pas le temps de soigner ma blessure, trop énervé.


Dernière édition par John Randall le Sam 21 Jan - 18:09, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin]   Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin] EmptyMer 11 Jan - 20:48

C’était sans doute l’heure pour moi de disparaître… Je n’avais aucune envie de m’attirer des ennuis, même si ça devait être trop tard. Mais qui ne tente rien, n’a rien comme on dit. Je me levais donc rapidement, et menaçais quelque peu John pour essayer de le dissuader de me suive. Il me suffisait d’espérer qu’il le prendrait sérieusement, j’étais bien sûr capable de tout ce que je disais, mais il aurait été bien dommage de réduire à sang et feu se bar que j’appréciais. J’aurais sans doute dû le faire finalement… Or, il y avait vraiment beaucoup de monde aujourd’hui, et il ne m’aurait pas laissé tuer tout le monde facilement.

Je sortis par la porte de derrière, malgré le fait que la porte soit fermée, je pus passer en brisant la chaîne. Je voulus appeler une camarade à l’aide, mais mon portable n’était pas de mon côté, sa batterie était vide et il s’était même éteint. Me laissant alors dans un guêpier impossible si le sorcier refaisait surface ce soir. Je devais prendre en note de toujours recharger mon téléphone pour éviter ce genre de situation. Etant dans une ruelle sombre et déserte, il me fallait retrouver les grands chemins pour être entourée de monde, et ainsi éviter d’avoir à faire à John. Mais, c’était sans compter sur un don appréciable : la téléporation. Effectivement, dans le fracas d’un bruit de pétard, l’homme se retrouva en face de moi. Je lui déclarais alors fermement qu’il n’avait pas choisi la plus gentille vampire du coin, et lui demandais qui il était, ce qu’il me voulait. J’étais sans doute suicidaire de me comporter ainsi, mais avais-je réellement le choix ? Mis à par essayer de lui faire peur, je n’avais pas beaucoup de solution, sachant se téléporter, il était plus rapide que moi…

Peur ? Oui, j’avais peur. Mais qui ne le serait pas face à un inconnu qui vous suit dans une rue sombre dans le noir ? Même une jeune vampire pouvait être effrayé, surtout qu’il ne m’inspirait pas confiance, j’aurais dû m’enfuir avant… Or ma curiosité avait pris le dessus et j’allais sans doute en payer le prix fort… C’était la seule conclusion possible après la réponse qu’il m’avait donné. Il voulait me poser des questions, savait que les vampires n’aimaient pas l’argent, tout comme le bois ; précisant également qu’il ne voulait pas devenir vampire, puisqu’il les détestait. Et bien, ce n’était vraiment pas une soirée à mettre un vampire dehors. Comment allais-je faire pour me sortir de là ? Bon… Il était tout seul, j’étais toute seule… C’était à peu près équitable, sauf qu’il semblait en savoir long sur moi, et je ne savais rien de lui.

- Alors… Avant de me poser des questions… J’en ai une pour vous… Comment vous me connaissez ? Après tout, tout le monde ne connait pas mon second prénom, et mon nom !

Il ne semblait pas très d’accord pour répondre, et enchaîna sur une interrogation sans répondre à la mienne. Mais c’était que j’étais vraiment, vraiment bien partie ! Il me demanda si je connaissais Damon William Stanford. Pour un peu que je le connaissais… Il était juste mon colocataire, mais je ne savais pourquoi, je n’avais aucunement envie de dire la vérité. Je fis alors rapidement volte face pour m’enfuir, mais il se téléporta en face de moi, me faisant signe que c’était une très mauvaise idée. Je soupirais et reculais de deux ou trois pas avant de lui réponde :

- Je ne sais pas qui est machin bidule Stanford… Je suis une vampire solitaire qui n’a besoin de la compagnie de personne…

Il y eut alors le bruit d’une nouvelle téléportation. Je ne pus réagir que je sentis un fil me brûler le cou : fil en argent. John m’obligea alors à m’allonger sur le sol en tirant le fil vers le bas. La brûlure était difficilement supportable, j’en laissais d’ailleurs échapper un cri de douleur. Il se releva, sourire sadique sur les lèvres. Il me tourna le dos, réitérant sa question. Je ne répondis pas, étouffant mes gémissements de douleur. J’attrapais alors mon écharpe, enroulai ma main à l’intérieur pour attraper le fil qui me tenait au sol pour le retirer et me relever pendant que ma blessure se refermait. Je ne réfléchis pas un seul instant, et sautais immédiatement sur John pour lui mordre à la gorge. Je sentais alors son sang couler le long de mon œsophage, sur ma peau mais ce plaisir s’arrêta brutalement lorsqu’il enfonça un poignard dont la lame était en argent dans mon estomac. Je le lâchai dans un son de suffocation. Je sentis alors la lame se retirer, avant d’entendre retentir un nouveau son de disparition et de me retrouver au sol, un fil d’argent sur le cou et les deux poignets.

- JE N’AI RIEN FAIT ! LAISSEZ MOI PARTIR ! Hurlai-je.

J’avais mal… Et il riait ? Dans quel pétrin j’étais encore tombée ?! Mais pourquoi ce genre de chose ne tombait que sur moi ?! Tout ce que je sentais, c’était l’argent sur mes poignets et mon cou, une brûlure ardente me prenait, douleur que je n’avais pas ressentie depuis bien longtemps. Lorsque le contact ne durait pas longtemps, ça restait supportable, mais aussi longtemps, ça ne l’était pas. C’était plus que douloureux, plus qu’infernal. John, debout à côté de moi me redemanda si je connaissais Damon, je répliquais alors instinctivement, sans réfléchir :

- NAN ! JE NE LE CONNAIS PAS ! LAISSE MOI TRANQUILLE !

Mais bien sûr que tu le connais pauvre poire ! Pensais-je. J’étais tout bonnement incapable de dire que je le connaissais. Ennemi des vampires… Ennemi de Damon aussi forcément… Je n’allais pas dénoncer quelqu’un de mon espèce, de toute façon j’en étais incapable, et je ne savais pas pourquoi. A ma réponse négative, John rétorqua que c’était la mauvaise réponse et remonta la manche de ma veste en cuir, pour faire glisser doucement la lame le long de mon avant-bras. J’hurlais alors de douleur, sentant alors des larmes couler sur mes joues.

- JE NE T’AI RIEN FAIT ! ARRÊTE ! Criai-je entre mes sanglots.

Il n’y fit guère attention, et posa une nouvelle question sur Damon, demandant comment était-il possible qu’il puisse sortir au Soleil sans brûler. Je me décidais à ne plus répondre à ne plus rien dire. Pourquoi lui laisser le plaisir de m’entendre hurler de douleur en lui répondant hein ? Et puis, même en répondant, il n’aurait pas la bonne réponse… Je me taisais donc, essayant de ne pas crier, de ne pas gémir pour éviter de lui offrir un tel plaisir. Face à mon silence, John se pencha de nouveau vers moi pour faire une incision à mon autre avant bras, m’obligeant alors à crier une nouvelle fois.

- MÊME SI JE LE CONNAISSAIS… SI JE SAVAIS COMMENT IL FAISAIT, JE POURRAIS SANS DOUTE FAIRE COMME LUI ! SAUF QUE JE NE PEUX PAS SORTIR AU SOLEIL ! ET JE TE LE REDIS, JE VEUX QUE TU ME LAISSES PARTIR !

Je ne voulais aucunement rester encore avec lui, je voulais juste partir ! Mais il n’avait pas l’air d’accord… J’avais vingt ans, et j’allais crever à cause d’un abruti de mortel ?! Finalement, ma vie humaine n’était peut être pas aussi pourrie que ça… Ah ! Et maintenant je devenais nostalgique… Ouais ! L’heure était sans doute venue oui… Je commençais vraiment à avoir très mal… Même un vampire ça peut avoir très mal ! Bon, c’était sans doute le but ! Mais je lui avais rien fait ! Et je ne pouvais pas connaître tous les vampires ! Oui… Mes nerfs, mon moral et mon physique commençaient à lâcher, j’en pleurais, mais je n’en criais même plus… J’en avais plus la force. Et ça ne semblait pas être terminé, il avait des aiguilles en argent, et aussi de la poudre… John utilisa absolument tout, me posant des questions, auxquelles je ne répondis pas, ou donnait des réponses erronées, et il semblait le savoir… Je ne criais sans doute pas, mais intérieurement j’hurlais tant la douleur était forte.

Je ne savais pas combien de ça faisait que j’étais là… Mais j’avais l’impression que ça avait duré des heures et des heures. Tout mon corps semblait être en feu, chacune de mes veines semblaient se frotter à du papier de verre, je pleurais toutes les larmes que je pouvais… Je ne savais même pas comment il était possible que je sois encore éveillée… Comment il était possible que sois encore dans un semblant de vie. Je regardais John d’un air vide, le voyant flou tant ma vue était embuée par mes pleurs, ayant l’impression que j’allais fermer les yeux, pour ne plus jamais les rouvrir… Je crus qu’il allait me porter le coup fatal lorsque qu’il disparut dans le bruit d’un pétard. Quoi ?! Il me laissait agoniser dans une rue comme ça ?! De toute façon, si ce n’était pas lui… ça serait le soleil qui me tuerait alors… Soudainement, j’entendis quelqu’un dans la ruelle… Nan… Il n’était quand même pas de retour… L’inconnu était juste à côté de moi, je sentis les fils d’argent se retirer, et tout le reste également. J’entendis alors une voix familière m’interpeller m’aider à me relever en me portant, malgré les couches de vêtements, je sentis presque la chaleur du corps du nouveau venu dans la rue... C'était presque agréable, ça l'aurait été si je ne souffrais pas de la torture de John. Par je ne savais quel miracle, je tenais à peu près sur mes deux jambes. J’étais en face de Damon, et puis mon regard se perdit dans le rue avant, qu’il ne me demande de me concentrer un petit instant en relevant mon visage en relevant mon menton, me demandant de le regarder pendant deux minutes. J’essayais alors de m’exécuter, y parvenant tant bien que mal.

- Damon… Je suis désolée… Déclarai-je sur un ton épuisé, torturé.

A peine avais-je terminé de prononcer ces mots, que je sentis mes jambes flanchées et tout… S’éteindre ? Je ne sentais, n’entendais et ne voyais plus rien. Je savais que j’étais avec Damon, mais tout semblait être que du passé. J’avais tout bonnement l’impression que plus rien n’existait… Il y avait des jours comme ça, où on aurait mieux fait de rester chez soi, où on aurait dû écouter la plus petite voix qui était dans notre tête pour éviter de crever comme un parasite dans une rue. Si j’étais devenue vampire, ce n’était pas pour crever à vingt ans… Je ne voulais pas… J’étais morte une fois… Je ne voulais pas le faire une deuxième fois. Sauf que ça avait l’air d’être pour une deuxième fois. Un vampire, ça n’a pas froid, ça n’a pas mal, ça ne tombe pas dans les pommes… Et j’avais eu le droit à tout ça… Au moins, j’aurais vu Damon une dernière fois… Seul point positif de la journée…
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MessageSujet: Re: Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin]   Quand la chasseuse devient la proie... [PV: John Randall & Damon Stanford à la fin] EmptySam 14 Jan - 21:01

- Je n’aurais surtout jamais fais ça pour toi… Fis-je

J’attrapais ma veste en cuir posée sur la table basse a côté de la porte d’entrer et fila, laissant Sophia seule…
Même si Sophia était mon amie et qu’il y a quelques jours avant j’aurais sans doute été le plus heureux des hommes de revoir une si bonne joueuse, en cet instant la seule chose qui m’intéressait était de retrouver Sulpicia…
Les choses ne tenaient à pas grand-chose car quelques heures avant je n’aurais jamais pensé partir la tête la premier dans une histoire de chasseur de vampire…malheureusement pour ma belle Sophia depuis ma petite lecture je savais pertinemment que peu m’importait les choix et les risques qui entraient en compte, le fait de sauver Sulpicia et de la garder près de moi était devenu comme une nécessité a la quelle je répondais en ce moment…
Mes relations avec les femmes n’avaient jamais été ainsi pour la seule raison que jamais je ne portais attention a ce qu’elles ressentaient ou a ce qu’elles pensaient puisque c’était moi qui en décidait, sauf évidement dans le cas de certaines, mais ces derniers ne révélaient jamais leur pensées, ainsi c’était la première fois en 5 siècle que je rencontrais une femme dont je connaisse les pensées, pensées qui étaient sensiblement les mêmes que les miennes, et je n’avais pas attendus 5 siècle afin de rencontrer cette personne pour la voir mourir dans les bras un chasseur de vampire !
C’est ainsi que je partis a la recherche du bar dont Sophia m’avait parlé, je courais le plus vite que je pouvais, ne cherchant nullement a savoir si les non sorciers me voyaient, a cette heure tardive il n’y avait presque plus personne dans les rues et ils penseraient sans doute avoir bu un coup de trop…

Je courais toujours, me revoyant certain moment que j’avais passé avec la femme pour qui j’éprouvais des sentiments jusqu’à ce matin incompréhensibles et inavoués… L’amplification de certaines choses de l’humanité a la vie vampirique n’était pas forcément une bonne chose…

Soudain sans que je ne m’en rende compte une haine pour la personne dont je ne connaissais pas encore l’identité et qui était entrain de sans doute s’en prendre a Sulpicia monta en moi… cet personne allait mourir ! Elle était entrain de faire du mal a celle qui était probablement devenue la personne la plus importante a mes yeux et elle avait gaché mes retrouvailles avec mon amie…j’avais d’ailleurs dans la foulé oublier cette dernière que j’avais laissée seule chez moi…peu être serrait-elle là a mon retour…peu m’importe, je la reverrais tôt ou tard, ce qui était important en cet instant était la vie de Sulpicia !

J’arrivais alors au bar dont mon amie m’avait parlé, c’était un bar chantant, il était entrain de fermer, le barman et les quelques serveurs nettoyaient la salle. Il y avait une grande scène a côté du bar où des musiciens rangeaient leur instruments. J’y entrais et un jeune homme m’annonça que le bar était fermé:

- je sais…je cherche mon amie, brune, jeune, séduisante, elle a du être rejoint par un homme…

- Ah Sulpicia…

- C’est ça ! Où est elle ?!

- Je l’ai vue partir par la porte de derrière d’ailleurs c’est curieux la porte était…

Je courus alors sans le laisser finir sa phrase vers la dite porte dont la chaine était brisée: seul un vampire pouvait faire ça a main nue: Sulpicia…
Je courus alors et vis la jeune femme au sol…elle était dans un mauvaise état, elle avait des chaines en argents sur le cou et sur les poignets et tout sortes d’autres objets du même métal…
Sans réfléchir une seule seconde et sans la moindre hésitation je pris a main nue la chaine sur son cou et l’enlevais, me brulant ainsi les mains, je réitérai mon acte pour enlever les deux chaines sur ses poignets avant de me rendre compte que son écharpe était non loin…il faut dire que la belle écharpe bleu électrique de notre réelle première rencontre n’était pas très discrète mais je n’avais encore une fois pas réfléchis avant d’agir: c’était mon plus gros défauts…

Je pris alors chacun des éléments argenté en me servant de l’écharpe bleue ensanglantée comme d’un gant puis passais ma main derrière la taille de Sulpicia afin de la redresser…

- Sulpicia…Sulpicia…concentre-toi…Sulpicia…

Elle s’excusa puis tomba dans mes bras…Je passais alors une main au niveau de sa taille et l’autre au niveau de ses genoux afin de la porter dans mes bras et de l’amener à la maison… Avec moi elle ne risquait plus rien: je ne laisserais personne me l’enlever…
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